La situation du monde
L’avidité des psychopathes milliardaires, la corruption des politiciens, les mensonges des médias, l’inconfort du masque, la peur de la mort, ou du vaccin… ne sont-ils pas des expressions de nos ombres que nous refusons de reconnaître, d’accepter et d’aimer ? Et les actions militantes que certains entreprennent sont-elles bien appropriées si elles ne sont finalement que des actions dirigées contre nous-mêmes ?
Les imperfections du monde, ne font-elles pas partie du Plan divin ? Et en voulant à tout prix les rectifier, ne va-t-on pas faire perdre au monde sa plénitude ?
Ce n’est pas pour dire qu’il n’y a pas de dangers dans la situation actuelle. La vie dans un corps physique a toujours été une aventure dangereuse.
Mais qui est réellement en danger, à part l’ego humain, avec sa vision très limitée de la réalité ? Il s’imagine être une victime de forces extérieures malveillantes, alors qu’il n’est qu’une victime de lui-même : c’est la pitoyable condition des bas niveaux de conscience !
Je m’interroge sur les causes de la situation mondiale, de l’état du monde, plus que sur les symptômes. Le monde est un grand organisme vivant dont les hommes (et les autres êtres vivants) sont des cellules. Le monde fonctionne de la même manière que notre corps, à une autre dimension. Dans l’un et dans l’autre, comme dans tout organisme, lorsque des déséquilibres, des dysfonctionnements se manifestent, des maladies apparaissent. Le monde actuel est malade, et cela ne date pas seulement de l’apparition du Covid. Lorsque notre corps est en déséquilibre, toutes sortes de maladies peuvent apparaître, qui se manifestent pas divers symptômes. Ce sont ces symptômes qu’adresse la médicine allopathique. Mais en luttant contre les symptômes et en s’efforçant de les supprimer, on ne guérit pas les causes. Les symptômes ou maladies de la société ou du monde sont les guerres, les épidémies, la famine, la pollution, la violence, le terrorisme, le chômage, les crises économiques, la pauvreté, etc. Les hommes d’états, les milliardaires psychopathes, les directeurs des banques et des grosses entreprises, et les personnes dans des positions de pouvoir, sont les virus de la société. C’est pourquoi les révolutions et toutes les formes de militantisme ne fonctionnent pas. Ils luttent contre les symptômes, ils sont les vaccins, les antibiotiques, les médicaments chimiques et les opérations chirurgicales de la société. De nouvelles maladies de société apparaissent et de nouveaux virus prennent le pouvoir.
La cause des maladies de la société est le bas niveau de conscience de la majorité de la population. Il se situe entre 200 et 250 sur une échelle de 0 à 1000. Les principales caractéristiques de ce bas niveau de conscience sont l’égoïsme et la mentalité de victime. Les structures de la société et le système capitaliste sont basés sur la hiérarchie, la compétition et l’égoïsme. L’ascension dans la hiérarchie et le profit se font toujours au dépend des autres, et ceux qui arriveront au sommet de la hiérarchie et auront amassé le plus d’argent sont ceux qui vont se trouver au pouvoir. Ils deviendront les bourreaux de ceux qui sont en bas de la hiérarchie, et qui doivent travailler comme des esclaves pour survivre, une manière d’enrichir encore plus leurs bourreaux, et en reconnaissant leur pouvoir, de le renforcer. Mais comme le niveau de conscience des bourreaux n’est pas beaucoup plus élevé que celui des victimes, ils se retrouvent être aussi les victimes de leurs victimes, car ils dépendent de leur consentement tacite pour garder le pouvoir et continuer à s’enrichir. Ils vivent les uns et les autres dans une relation dysfonctionnelle de dépendance mutuelle basée sur les jeux de pouvoir.
C’est à partir du niveau de conscience de 500, celui de l’ouverture du cœur, que l’égoïsme est remplacé par l’altruisme, la reconnaissance de l’autre comme un égal, et que les jeux de pouvoir du couple bourreau-victime sont remplacés par une collaboration équitable. Quand on regarde le monde actuel, on en est encore loin, et il ne faut pas s’étonner que les maladies du monde s’aggravent, car comme pour les maladies du corps, les méthodes appliquées (les vaccins et les médicaments chimiques) affaiblissent et polluent de plus en plus le terrain, dans lequel de nouvelles maladies de plus en plus graves se développent.
12 janvier 2021, Chiang Mai